Weiterbeschäftigung im AHV-Alter sollte belohnt, nicht bestraft werden!

Débats sur la prévoyance
Une commentaire de Jörg Odermatt, co-fondateur et directeur général de PensExpert SA
4. novembre 2019
Écrit par
Jörg Odermatt
Président

L’Office fédéral des assurances sociales (OFAS) ne semble pas se préoccuper de ce problème. Sinon, le législateur n’essaierait pas de dissuader les personnes à poursuivre leur activité professionnelle après l’âge de la retraite AVS sur la base de réglementations inutiles.

Déjà avec la réforme Prévoyance vieillesse 2020, le législateur voulait s’assurer qu’en cas de réduction de l’activité professionnelle après l’âge de la retraite AVS, il ne soit pas autorisé à maintenir l’entier de l’avoir de retraite dans la caisse de pension. Ceci au détriment des personnes qui veulent continuer à travailler partiellement après l’âge de la retraite AVS. Motif : lors de la mise à la retraite forcée du 2e pilier, la charge fiscale des employés à temps partiel pourrait même être plus élevée qu’avant l’âge de la retraite AVS. Il est passé inaperçu aux yeux du public, que l’OFAS a également prévu cette modification législative avec le projet de stabilisation de l’AVS (AVS 21). Il serait plus judicieux pour l’économie nationale, si l’Etat supportait les entreprises quant au thème lié à la pénurie de personnel qualifié. C’est la raison pour laquelle le travail à l’âge de la retraite AVS doit être récompensé et ne pas être entravé par des mises à la retraite forcée.

Écrit par
Jörg Odermatt
Président